Quelques années après « Je ne sais pas si c’est tout le monde », Vincent Delerm prolonge dans un deuxième film son exploration documentaire et sensible des sentiments, en s’attaquant cette fois au plus vibrant d’entre tous : le sentiment amoureux. Vincent Delerm opère seul et empoigne sa caméra pour s’en aller sonder des femmes et des hommes, anonymes, artistes, connaissances ou amis, au printemps ou à l’hiver de leurs vies, tous dissemblables mais tous à l’unisson lorsqu’il s’agit d’évoquer avec délicatesse, émotion ou humour leurs rapports aux vertiges de l’amour.